Plus de six ans après avoir signé le contrat (2018), Airbus est enfin proche de vendre un satellite d’observation de la Terre à l’Angola. La Société générale va financer le contrat.
Le contrat portant sur la vente d’un satellite d’observation de la Terre (Angeo-1) n’est pas encore dans la poche d’Airbus mais un pas décisif a été fait jeudi lors de la visite d’État en France du président angolais, João Lourenco. La Société générale, qui finance le projet, a signé pendant la visite du chef de l’État le contrat de financement. « Airbus est en train de conclure un accord de fourniture d’un satellite avec un financement français de la Société Générale. (…) C’est un pas supplémentaire important », a expliqué l’Élysée un peu avant la venue du président angolais. Ce satellite d’observation servira à la surveillance du territoire et des frontières de l’Angola, à la cartographie des ressources naturelles, à la surveillance maritime, y compris la pêche, l’agriculture et la population.
La Tribune