Une affaire troublante secoue l’ambassade d’Espagne à Kinshasa suite à la disparition de 53 précieuses étiquettes de visas Schengen. Ces documents cruciaux ont été dérobés dans un coffre-fort appartenant à la série numérotée 22613857 à 22613910, soulevant des questions essentielles quant à la sécurité et à l’intégrité des opérations au sein de l’ambassade.
L’énigme de cette disparition demeure entière : comment ces étiquettes ont-elles pu disparaître sans la moindre trace ? Qui parmi le personnel de l’ambassade avait accès à ce coffre-fort hautement sécurisé, qui a été visé de manière sélective, laissant perplexe quant à l’absence de toute intrusion signalée ?
Une hypothèse troublante émerge : s’agirait-il d’une affaire interne qui aurait mal tourné ? Les spéculations vont bon train, alimentant le mystère entourant cet incident inquiétant.
Les regards se tournent vers le personnel de l’ambassade, suscitant des questionnements sur d’éventuelles failles au sein de l’organisation. Il est suggéré que les responsabilités de cette disparition mystérieuse ne peuvent être attribuées à des citoyens lambda, laissant ainsi planer le doute sur une possible implication de personnes internes à l’ambassade. Cette théorie soulève des préoccupations quant à la confiance et à la sécurité au sein de l’institution diplomatique, mettant en lumière la nécessité d’une enquête approfondie pour élucider les circonstances de ce mystérieux événement.
Roger Lazio
